Nom:                 Stéphanie Falardeau, EPEI       

Poste:                Consultante-ressource

Depuis combien de temps travaillez-vous pour le SIJE :
Depuis, Janvier 2018.

Pourquoi avez-vous choisi ce domaine :
J’ai choisi ce domaine car pour moi les enfants sont les trésors de notre société. Ils sont tous uniques et malgré leurs différences et/ou défis, ils sont capables de chose extraordinaire. Mon travail me permet de célébrer à tous les jours avec les familles et les différents intervenants, les succès, même les plus subtiles, des enfants. C’est terminer chaque journée de travail, en aillant la satisfaction, d’avoir fait une différence.

Quelle est votre partie  préférée de votre travail :
La partie que je préfère dans mon travail, est sans aucun doute, la possibilité de participer à l’évolution de l’inclusion. Que ce soit en ayant des conversations avec des éducateurs(trices) sur ce que signifie l’inclusion, ou encore en participant à trouver des solutions, afin d’assurer cette inclusion pour un enfant ayant des défis; cette perspective de mon travail, me permet de me sentir comblée et choyée.

Avez-vous des enfants :
Je suis maman d’un petit garçon du nom de Lucas. Il est âgé de 2ans et 9 mois. Lucas est très actif et est en plein Cœur de son “Terrible Two”. Il est né avec une condition médicale, appeler Tachycardie Supra-Ventriculaire. Cette condition fait en sorte que son rythme cardiaque, en épisode, est anormalement élevé (300BpM). Heureusement, il est sous médication afin de contrôler le tout et ce jusqu’à l’âge de 8 ans, où il aura la possibilité d’avoir une chirurgie pour régler son arythmie. Comme tout enfant, ceci n’empêche pas à Lucas d’être un vrai rayon de soleil dans la vie de moi et mon conjoint.

Quelle est votre destination rêvée pour voyager?
Mon voyage de rêve serait de faire le tour du Canada en VR. J’aimerais découvrir les Rocheuses dans l’Ouest et faire de la motoneige en montagne, puis me rendre à l’Ile du Prince Édouard, pour y découvrir les champs de patates. Bref, avant de visiter et d’en apprendre sur d’autre pays, j’aimerais bien connaître le mien.